Nos dernières heures au Canada … à Victoria. Notre hôtel, le Fairmont Empress, est un énorme «chateau» construit par la Canadian Pacific vers 1900 pour attirer les touristes européens
Depuis l'hotel, vue sur le port d'où nous allons embarquer cet après-midi
Le Parlement de Colombie-Britannique est lui aussi très imposant :
Victoria is definitely so british !
Preuves à l'appui : le tea-time au Fairmont Empress Hotel,
les bus à impériale,
l'architecture victorienne, d'ailleurs remise à neuf
la statue de la Reine Victoria qui trône devant le Parlement,
sans oublier le crachin londonien !
Il n'y a guère que la porte du Chinatown local qui détonne dans ce «petit Londres».
Par contre, c'est comme partout au Canada un sport typiquement canadien, le hockey sur glace, qui est le grand favori ! Aujourd'hui, c'est le lancement du Championnat de la Ligue Nationale de Hockey avec un match entre les «Feuilles d'Erable» de Toronto et les «Canadiens» de Montréal. Il est retransmis en direct sur de grands écrans dans les cafés. Et regardez bien qui sponsorise le match : eh! oui, c'est bien Viagra, vous avez bien lu !
Embarquement sur le bateau rapide Victoria Clipper
qui nous emmène directement à Seattle, aux Etats-Unis, en 2 heures et demi. Dommage que cette traversée dans les Détroits se fasse de nuit !
Arrivée au port de Seattle vers 21 heures.
Une bonne nouvelle: nous avons passé la douane sans encombres: Cécile et Julien, préparez vous à goûter au foie gras arrosé de jurançon !
Le douanier, très sympathique, s'étonne que Michèle ne passe que deux jours aux Etats-Unis. Il me demande si elle connaît San Francisco (réponse négative) et il me dit : «Mais, elle devrait y aller, c'est très beau, là-bas». «Faites la route buissonnière» («Get lost!»). Il n'en revient pas que la distance soit un problème … et n'arrête pas de rigoler … Forcément, la vision des choses est assez différente quand on habite un pays qui fait plusieurs milliers de kilomètres du nord au sud, et d'est en ouest ! Il nous gratifie cependant d'un «Welcome in the USA ! »
Le douanier, très sympathique, s'étonne que Michèle ne passe que deux jours aux Etats-Unis. Il me demande si elle connaît San Francisco (réponse négative) et il me dit : «Mais, elle devrait y aller, c'est très beau, là-bas». «Faites la route buissonnière» («Get lost!»). Il n'en revient pas que la distance soit un problème … et n'arrête pas de rigoler … Forcément, la vision des choses est assez différente quand on habite un pays qui fait plusieurs milliers de kilomètres du nord au sud, et d'est en ouest ! Il nous gratifie cependant d'un «Welcome in the USA ! »
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