
Nous approchons en fin de matinée d'une autre grande ville sibérienne, Krasnoïarsk (Красноярск), noeud ferroviaire du Transibérien.


Nous ne resterons que 3 heures ici, juste le temps de faire une bonne promenade à pied dans le centre-ville.
Lénine, une fois n'est pas coutume, ne nous montre pas la direction vers l'avenir radieux.

Hommage moderne aux vétérans de la Deuxième Guerre Mondiale

Le socialisme fait femme

L'ivresse faite homme

L'horloge de rue

Des Gitanes que notre guide Aleksandra voit d'un très mauvais oeil.

Arbre en fleurs électriques

Jardin d'enfants dans une cité

L'ours Michka

Le cheval repeint en zèbre

La statue de Tchekov qui, passé par là dans le voyage qu'il fit au bagne de Sakhaline, loua la beauté de Krasnoïarsk.

Le pont sur le fleuve Ienisseï; encore un cours d'eau gigantesque: 5100 kms entre la Mongolie et l'Océan Glacial Arctique où sa largeur à l'embouchure est de 30 kms. L'hiver, il est pris dans les glaces pendant 170 jours à Krasnoïarsk et on peut le traverser en voiture.

La ville possède tout un quartier d'anciennes maisons de bois sibériennes


Puis, de grands espaces avec beaucoup d'eau.
Tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles si notre guide Aleksandra était à la hauteur: malheureusement, ses commentaires sont plutôt simplistes et elle semble être plus intéressée à «faire la java» avec sa copine qu'à nous donner les informations, même de base. Dommage !
Pour la dernière fois ce soir, nous avançons les montres d'1 heure. Nous sommes à 7 heures de décalage horaire avec la France.
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