mardi 29 mars 2016

Best of de mes photos (mars 2016)

Votes du public

Poisson chirurgien strié, Maldives (289 votes)
HQSP Animals

Petite fille à la mosquée d'Ahmedabad, Inde (230 votes)
BTP Street Pro, HQSP Portraits, HQSP Urban & Street Photos

La préparation du chapati, Maharashtra, Inde (175 votes)
HQSP Urban & Street Photos, HQSP Portraits, BTP Street Pro

Vote des jurys

Le bain et la lessive, Nashik, Inde
BTP Street Pro, HQSP Portraits

Le repasseur, Gujarat, Inde
HQSP Portraits, HQSP Urban& Street Photos, BTP Street Pro

Martin chasseur de Smyrne, Rajasthan, Inde
Water Bird Wednesday, HQSP Birds, BTP Bird Pro 
Promote Photography, Breakfast Art Club

Grue demoiselle, Rajasthan, Inde
Water Bird Wednesday, HQSP Birds, BTP Bird Pro

Migration des grues demoiselles, Rajasthan, Inde
Water Bird Wednesday

Magnolia en fleurs
Breakfast Art Club, HQSP Flowers

Fleurs d'arka, Gujarat, Inde
HQSP Flowers, Top Photo of the Day Flower Colors

Palais de Jodhpur, Rajasthan, Inde
BTP Architecture Pro, HQSP Architecture

Patwon ki Haveli, Jaisalmer, Rajasthan, Inde
BTP Architecture Pro




mercredi 9 mars 2016

Les dernières courses de l'année à l'Hippodrome de Pau (21 février 2016)

Au programme, toutes les étapes des courses ... sauf les paris. Parce que cette année, nous n'avons pas misé !

Le tour de paddock pour se faire une petite idée de la forme du jour
 Conciliabules entre jockeys et entraîneurs avant la course
 En selle
 Course de plat ou cross country ?
 A l'arrivée
 La victoire

Best of de mes photos (janvier et février 2016)

Le palmarès des 2 derniers mois, assez maigre, compte tenu de mon absence la plupart du temps ...

Votes du public

Carangues bleues, Polynésie Française (440 votes)
BTP Animal Pro, BTP Editor's Choice (Top photo page), 
HQSP Animals, Breakfast Art Club

Coraux Acropora millepora, Nouvelle-Calédonie (226 votes)
Breakfast Art Club

Femmes du Rajasthan, Temple des Rats, Inde (92 votes)
BTP Other Pro

Vote des jurys

Paysage d'hiver, Drôme Provençale
Breakfast Art Club, Landscape Photography, Belles Photos

La moustache, fierté du Rajasthani, Inde
HQSP Portraits, HQSP Promotion, BTP Other Pro

Le tailleur, Jaisalmer, Rajasthan, Inde
BTP Street Pro, Breakfast Art Club, HQSP Portraits

Femme du Gujarat, Inde
BTP Other Pro

Inde (43) : Retour en France


Départ de notre hôtel de Delhi à 9 heures. Notre avion part à 13h10 heure locale, et il faut être enregistré 2 heures à l'avance. A l'aérogare, nous disons adieu à Padam, Gurjeet et Deepak. Padam dit "en Inde, on ne dit jamais adieu, on dit toujours au revoir, car on ne sait pas ce que l'avenir nous réserve !". 
Nous avons bien fait d'être là tôt car je subis un contrôle très pointilleux de mes bagages cabine. Je dois absolument tout sortir: tablette évidemment, mais aussi appareils photo, chargeurs, adaptateurs, prolongateurs électriques, lampe frontale, ... Le tout est radiographié plusieurs fois. Quand je demande pourquoi on fait tout ça, un employé me dit que ma petite valise cabine présente un risque ... qui n'existait pas quand nous avons pris l'avion entre Delhi et Mumbai ou bien entre Ahmedabad et Delhi ! Par contre, mon respirateur qui avait éveillé les soupçons d'un contrôleur à l'aller ne les intéresse pas ici.
C'est qu'en Inde la bureaucratie est partout, et pas toujours très efficace. J'avais vu ça pour l'obtention de mon visa. J'avais initialement demandé un visa de tourisme de 6 mois. Pour une raison qui m'est inconnue, j'ai obtenu un visa de 3 mois seulement dont la date de fin tombait en plein milieu de notre séjour. Du coup, j'ai dû aller à Bordeaux expliquer mon cas auprès de la société privée charger de réunir les éléments nécessaires à l'obtention du visa indien. L'employé me dit alors de refaire une nouvelle demande, ce que j'ai fait, moyennant un nouveau versement de 100 euros, une deuxième fois. Finalement, j'ai obtenu un visa adéquat ...de 6 mois. Michèle avait eu son visa de 6 mois dès la première demande. Comprenne qui pourra ...
Un deuxième démonstration de la toute-puissance de la bureaucratie indienne, c'est quand nous devions nous enregistrer à l'arrivée dans chaque hôtel. On connaissait ça dans le temps chez nous aussi ... mais les choses se sont corsées à l'hôtel du Mont Abu où nous avons dû poser pour la photo pour alimenter notre dossier de séjour informatisé... et remplir un questionnaire poussé (au moins 15 minutes). Il a fallu 3 heures que notre groupe de 12 personnes ait le temps de tout remplir. En plus, à chaque hôtel sa méthode ...
Mais si le règlement est souvent paperassier, ça ne veut pas dire que les lois votées sont appliquées pour autant. Tout ça m'a l'air d'être assez arbitraire et laissé au bon vouloir du fonctionnaire local ! A moins que ce soit une question de bakchich ...
Une fois les contrôles passés, nous avons juste un peu de temps pour faire quelques emplettes au tax free shop et c'est l'heure d'embarquer.
L'avion n'est pas plein et je me retrouve avec comme voisine une charmante jeune femme indienne de 26 ans. Elle travaille depuis 2 ans à Paris dans une compagnie internationale de vente de vêtements de mode, et elle est dans le e-commerce. Elle parle bien le français. Elle est originaire d'Ahmedabad et me demande comment j'ai aimé sa ville et l'Inde en général. 

Je lui parle de notre périple dans son pays et aussi de notre séjour à Ahmedabad. Elle est Jaïn mais elle a commandé du vin ... nul n'est parfait ! Quand je lui dis que je croyais que les Jaïns ne buvaient pas d'alcool, elle me dit avec un sourire que j'ai raison. Elle me dit qu'elle aime bien Paris, vit dans le XVIIIeme, et qu'ensuite elle aimerait bien continuer à travailler dans une autre ville internationale parce que quand elle sera mariée, elle devra suivre son mari et que c'en sera fini de sa vie professionnelle ... Je lui demande si elle compte faire un mariage arrangé comme 90 % des Hindous. Elle me dit qu'elle préférerait choisir son mari toute seule et que sa famille est ouverte à cette possibilité. Par contre, sa mère ne voit pas d'un bon œil qu'elle reste à Paris parce qu'il est difficile de rester végétarien et qu'elle espère mieux pour sa fille que de se déplacer à pied dans le métro. Elle doit être d'un milieu très favorisé ... ou bien la mère a peur des agressions ou des attentats ? La jeune femme a un ami indien qui vit à Paris et qui, dit-elle, est "80% français et 20% indien". Les parents insistent pour que la jeune femme se marie rapidement, éventuellement avec cet Indien, mais à condition qu'ils ne restent pas à Paris. Apparemment, la France semble aux parents un pays de perdition, contrairement à l'Angleterre ou aux États-Unis où les Indiens peuvent plus facilement vivre en communauté et respecter leurs coutumes religieuses et alimentaires. Intéressant de comprendre ce point de vue. Notre laïcité ne plait pas à tout le monde !

Notre voyage se termine donc maintenant. De tous les voyages que j'ai pu faire, c'est sans doute - si je mets de côté la Papouasie où nous avons rencontré des tribus vivant comme à l'âge de la pierre - le pays dans lequel je me suis senti le plus "étranger". La religion, les coutumes et les rites, la culture au sens large m'ont paru tellement éloignés des nôtres  ! Et même si l'Inde est un pays qui se développe économiquement très vite et qui sait aussi faire preuve de modernité - par exemple en informatique les Indiens font partie des cracks - elle m'a semblé extrêmement attachée à ses racines culturelles mais aussi peu perméable aux idées philosophiques des autres pays. C'est pour moi à la fois une source de perplexité mais aussi de curiosité infinie. Il faudra que nous y retournions pour approfondir notre connaissance de ce grand pays qui sera très bientôt le pays le plus peuplé du monde ... Et en plus, nous avons maintenant beaucoup d'amis indiens qui attendent que nous revenions les voir un jour !

Inde (42) : Uttar Pradesh, Le Taj Mahal, Old Delhi, le Temple Sikh de Delhi

Il faut s'y prendre de bon heure pour aller voir le Taj Mahal. Dès 7 heures du matin, il y a une queue énorme pour rentrer dans l'enceinte de la "septième merveille du monde". Et plus encore pour les femmes parce qu'il n'y a pas assez de "fouilleuses" qui palpent les touristes féminines. Comme la France, l'Inde vit sous la menace permanente d'attentats islamistes. Une fois rentrés, les hommes se dirigent rapidement vers la porte d'entrée du Taj Mahal, déjà assez impressionnante. Ce matin, il y a du brouillard ...
Et de là, on découvre la merveille, à condition d'arriver à traverser la marée humaine munie d'appareils photos qui immortalise sa venue dans cet endroit. 
De style moghol, un mélange d'éléments architecturaux d'origine islamique, persane, ottomane et indienne , le Taj Mahal (ce qui signifie "Palais de la Couronne" en persan)  a été construit entre 1631 et 1648 pour servir de mausolée à la femme préférée de l'Empereur Shah Jahan, Mumtaz Mahal, morte en mettant au monde son quatorzième enfant ...
Mumtaz Mahal ("la Merveille du Palais")
Bien qu'elle ne fut que sa troisième épouse, l'Empereur Shah Jahan qui l'aimait plus que tout lui fit construire ce magnifique mausolée où elle est enterrée. Que dirent ses autres épouses, nul ne le sait. Peut-être un léger sentiment de jalousie devant cette manifestation d'amour de leur cher et tendre ? 
Le mausolée de marbre blanc dont la coupole culmine à 74 mètres est entouré de minarets qui sont légèrement penchés vers l'extérieur pour qu'ils ne risquent pas de tomber sur le mausolée en cas de tremblement de terre. L'architecte Ustad Ahmad Lahauri avait pensé à tout ! 
Sur la terrasse, la porte principale de marbre comporte un grand iwan - un porche - de style persan, taillé en nid d'abeilles. Les murs sont marquetés avec des motifs incrustés de pierres fines de couleur: jaspes, turquoises, malachites, lapis-lazzuli, corail, cornalines, onyx, grenats, agathes, cristal de roche. 
Tout en haut, un vautour percnoptère a fait son nid ...
A l'intérieur, la chambre funéraire entourée d'un jali - un claustra de marbre - contient les deux cénotaphes de l'Empereur et de son épouse. Les corps enveloppés d'un linceul se trouvent dans la crypte souterraine, juste au dessous. Il est demandé de faire silence, mais en fait il y a un énorme brouhaha. 
La terrasse extérieure donne sur 2 mosquées construites de manière symétrique, de chaque côté de l'édifice principal. Mais, comme on ne prie que dans la direction de la Mecque (ici vers l'Ouest), une des mosquées ne sert à rien, elle n'est là que pour la décoration ... ça n'a pas arrêté notre Empereur qui visiblement avait de l'argent à revendre. Luxe suprême. 
La foule se presse pour prendre la photo du siècle, qui en train de supporter l'ouvrage par dessous avec la main ou en train de le retenir par le haut de la coupole, qui en train de s'embrasser ou de se regarder langoureusement devant le magnifique mausolée. 
Il y a de multiples photographes professionnels qui enchaînent les prises de vues pour des couples en mal de souvenirs (40 photos pour 4000 roupies, soit 58 euros, une affaire !). Nous sacrifions à la traditionnelle photo devant cet hymne à l'amour. Nicolas et Carla n'ont pas fait mieux !
Deux heures après avoir commencé cette visite inoubliable, et après un petit déjeuner à notre hôtel, nous repartons vers Delhi pour notre dernière étape. 4 heures de trajet sur "la meilleure route de l'Inde" (dixit Padam), en fait une autoroute à trois voies qui traverse un paysage des plus plats. 
Environ 200 kilomètres plus loin, nous atteignons Delhi. 15 millions d'habitants dans la ville elle-même, et 25 millions dans la périphérie proche, excusez du peu .... La deuxième agglomération du monde après Tokyo ... La circulation devient de plus en plus dense. Au début de l'année, le gouvernement indien avait décidé de tester la circulation alternée : un jours les numéros pairs, un jour les numéros impairs. Pour l'instant, on en est resté là car la mesure n'est pas trop populaire et beaucoup de gens avaient détourné le système avec l'utilisation de cartes d'exemption, ou bien l'utilisation de la voiture de son conjoint, etc ... Bref, on verra ça plus tard, en attendant la pollution continue de s'aggraver ...
De gigantesques barres d'immeubles sont en construction un peu partout. Il faut bien loger toute cette population qui ne fait que croître. On imagine l'ampleur de la tâche quand il s'agit de construire habitations, fournir eau courante, électricité, tout-à-l'égout  pour une population en telle expansion !

Je remarque aussi quelques autocollants apposés a l'arrière de taxis, comme "This taxi respects women" (ce taxi respecte les femmes) ou bien encore "Women respect and safety, it's my honour and my duty" (le respect et la sécurité des femmes, c'est mon honneur et mon devoir). Tout ça laisse penser que les choses ne vont pas de soi. Et on se rappelle l'histoire de cette jeune femme qui se promenait main dans la main avec son fiancé et qui a été sauvagement violée dans un bus par un groupe de jeunes pendant que son fiancé était tabassé. Elle a été laissée pour morte un peu plus loin, les intestins à l'air. Horrible. L'histoire a fait scandale en Inde même, et la jeune femme a été même transférée en Angleterre pour tentée d'y être sauvée, sans succès. S'en sont suivies de nombreuses manifestations pour protester contre le machisme ambiant. L'affaire n'est pas jugée définitivement.

Après plusieurs dizaines de minutes, nous approchons du centre de la ville. Le restaurant où nous déjeunons sert, une fois n'est pas coutume, du poisson grillé, ma foi pas trop mauvais, et pas épicé du tout ! 
Notre bus traverse la ville moderne (New Delhi, celle des Anglais) qui est assez propre. On aperçoit le grand Arc de Triomphe, la Porte de l'Inde, qui commémore les morts indiens de la Première Guerre Mondiale et des guerres afghanes (1921-1931). De grands immeubles à l'architecture un peu bizarre, comme à Mumbai. Des arbres. Des rues sans détritus, pas de vaches sacrées ... un visage de l'Inde totalement différent de celui que nous avons vu jusqu'à présent.
Puis arrive Old Delhi, la cité ancienne (par opposition à New Delhi). Là, c'est autre chose. Nous prenons un rickshaw traditionnel, une sorte de pousse-pousse pour faire un petit tour. Deux Européens assis à l'arrière pour un Indien qui pédale. Comme nous avons pitié de lui, nous répartissons nos poids! Je monte avec Mado et Michèle monte avec Jean-Paul.
Notre "conducteur" est un vrai forçat qui s'en voit pour monter les petites côtes. Mais il a l'habitude, y compris dans les vapeurs d'essence. La circulation est démentielle, et notre homme doit se frayer un chemin dans le gigantesque embouteillage où on trouve des bus, des camions, des voitures, des triporteurs mécanisés ou pas ... et même des piétons. C'est un virtuose de la conduite qui zigzague avec beaucoup d'habileté pour éviter les autres véhicules. 
On traverse un marché où on vend un peu de tout, y compris de la nourriture au dessus d'immondices. La saleté est repoussante partout.
Des gens misérables vivent là dedans; une femme est par terre avec ses enfants, dont un tout petit qui la suit dans la boue en pleurnichant. Des estropiés font la manche. Une véritable Cour des Miracles. Un conducteur de pousse-pousse arrive, il a l'air bizarre. En fait, c'est une "gueule cassée", son visage est complètement défoncé. .. Spectacle terrible comme on en voit rarement, même dans la plupart des pays pauvres.
Avant de rejoindre notre hôtel, Padam nous emmène visiter le Temple Sikh Gurudwara Bangla Sahib. Notre chauffeur Gurjeet - qui est Sikh - est aux anges.
Contrairement aux croyants des autres religions indiennes, les Sikhs sont monothéistes. Dans leur religion - assez récente puisqu'elle a seulement 500 ans - on croit à «une seule conscience créatrice manifestée», Ek Ong Kar ( ). Dix Gurus (des sortes de Saints) ont défini les enseignements spirituels. Les croyants font voeu de respecter les Cinq Ks, cinq symboles extérieurs :

  • le Kesh (l'interdiction de se couper ses cheveux qui sont couverts par un turban particulier appelé dastar et, de façon générale, de se couper les poils, raison pour laquelle les Sikhs sont barbus), 
  • le Khanga (peigne de bois qui maintient les cheveux sous le turban), 
  • le Kachera (pantalon bouffant resserré aux genoux), 
  • le Kara (bracelet métallique), 
  • le Kirpan (poignard).

Quand on pénètre dans le temple, il faut donc se couvrir la tête comme le font les Sikhs. Un petit mouchoir fait l'affaire pour les non-Sikhs.
Un premier petit temple a été édifié en 1783 sur ce lieu où résida le huitième guru des Sikhs, Guru Har Krishan en 1664. Cette année 1664, il y avait une épidémie de variole et de choléra à Delhi et le guru vint en aide aux malades en leur donnant de l'eau de son puits. Ce faisant, il contracta la maladie et en mourut en mars 1664. Malgré cette histoire, les Sikhs croient que cette eau est miraculeuse et viennent en faire provision, comme le font les Catholiques à Lourdes.
Le puits sacré
La construction actuelle, largement remaniée date pour l'essentiel de 1947. 
Dans le temple, l'intérieur est couvert d'or. Des prêtres jouent de la musique sur des harmoniums et chantent.
 On se prosterne devant le tombeau du Guru.
Dans le temple, les volontaires jouent un rôle important. Par exemple, les fidèles venant prier au temple passent au préalable chacun leur tour quelques minutes au guichet où on garde et on restitue les chaussures - comme dans les temples hindous ou les mosquée, il faut retirer ses chaussures -. De même, le grand langar, la grande cuisine qui fournit des repas gratuits aux nécessiteux, fonctionne grâce aux bénévoles qui préparent les plats. C'est une tradition chez les Sikhs, depuis le premier Guru, que de servir des repas dans les temples, et ce sans distinction de religion ou de sexe.
Arrivée dans notre dernier hôtel. Nous y rencontrons Ranjeet, le propriétaire de l'agence Elephant Travel qui veut faire le bilan de notre voyage, évidemment excellent. Et aussi avoir notre appréciation - très positive - de notre guide Padam, si attentif, et qui a cherché à nous donner le maximum d'informations intéressantes. Je lui exprime ma grande reconnaissance de nous avoir accompagné pendant ces 10 jours, de Jaisalmer jusqu'à Delhi. 
Notre voyage en Inde s'achève ici puisque nous reprenons l'avion demain en début d'après-midi. Masi ce soir, nous ne ferons pas de "dîner d'adieu" tous les six ... Dommage !