Aucune nouvelle de Mariana ce matin. Alors, nous partons faire le tour du
Microcentro, le centre ville de Buenos Aires, en commençant par la Plaza San
Martin du nom du Libertador. De beaux immeubles au bord de cette place qui se
trouve dans un quartier chic, Retiro.
Il est l'œuvre de 3 architectes européens (2 italiens et 1 belge) et il reprend des éléments architecturaux et de décoration eux-aussi européens. C'est la communauté italienne amateur d'opéras qui a été à l'origine de la construction de l'édifice. L'acoustique de la grande salle est apparemment parfaite.
La visite à pied continue par l'Avenida Corrientes où se concentrent plusieurs salles de spectacle et théâtres. Pas de spectacle de Mariana en ce moment, elle est en congés après une saison d'été de 4 mois passée à Mar del Plata.
Cette dernière, poétesse féministe et engagée, est l'héroïne du dernier spectacle donné par Mariana Jaccazio à Mar del Plata Yo Alfonsina. Alfonsina Storni, atteinte d'un cancer, s'y est suicidée à l'âge de 46 ans.
À propos de Mariana, elle m'a enfin recontacté grâce à Twitter (merci Julien !) ... elle n'arrivait pas à me joindre sur mon téléphone portable, peut-être parce que j'ai un numéro français ... Ça y est, notre rendez-vous avec elle est fixé à demain matin dans un restaurant italien de Palermo pour un brunch !
Dernière partie de notre ballade, le quartier de Puerto Madero, l'ancien port dont les anciens docks ont été reconvertis en restaurants chics ... et très chers. La rénovation du quartier est vraiment très réussie.
Edificio Kavanagh
Palacio Paz
Puis, après avoir traversé l'immense
Avenida 9 de Julio, dont les Argentins disent que c'est l'avenue la plus large du monde, dominée par l'Obelisco de 67 mètres,
on arrive au Teatro Colon qui date de 1908. L'intérieur est
absolument splendide et ne déparerait pas en comparaison de la Scala de Milan ou de l'Opéra
Garnier de Paris. Il est l'œuvre de 3 architectes européens (2 italiens et 1 belge) et il reprend des éléments architecturaux et de décoration eux-aussi européens. C'est la communauté italienne amateur d'opéras qui a été à l'origine de la construction de l'édifice. L'acoustique de la grande salle est apparemment parfaite.
Vue de la loge présidentielle
Comme en Italie, le public de Buenos Aires est parfaitement
connaisseur d'opéras et il est, paraît-il, terrible, n'hésitant pas à siffler et
à huer dès qu'une faute, même minime, est commise par le chanteur ou la
cantatrice. Même Pavarotti n'a pas eu ici le succès qu'il attendait ... La visite à pied continue par l'Avenida Corrientes où se concentrent plusieurs salles de spectacle et théâtres. Pas de spectacle de Mariana en ce moment, elle est en congés après une saison d'été de 4 mois passée à Mar del Plata.
Avant de poursuivre, un petit arrêt au Café Tortoni fondé
en 1858
et qui a été fréquenté par Carlos Gardel et de nombreux écrivains :
Garcia Lorca, Pirandello, Borges, Alfonsina Storni. Cette dernière, poétesse féministe et engagée, est l'héroïne du dernier spectacle donné par Mariana Jaccazio à Mar del Plata Yo Alfonsina. Alfonsina Storni, atteinte d'un cancer, s'y est suicidée à l'âge de 46 ans.
À propos de Mariana, elle m'a enfin recontacté grâce à Twitter (merci Julien !) ... elle n'arrivait pas à me joindre sur mon téléphone portable, peut-être parce que j'ai un numéro français ... Ça y est, notre rendez-vous avec elle est fixé à demain matin dans un restaurant italien de Palermo pour un brunch !
Dernière partie de notre ballade, le quartier de Puerto Madero, l'ancien port dont les anciens docks ont été reconvertis en restaurants chics ... et très chers. La rénovation du quartier est vraiment très réussie.
11 septembre ?
Du coup, c'est devenu le quartier à la
mode, et donc le plus onéreux de Buenos Aires ... Justement, ce soir, c'est
là que nous mangeons dans un bon restaurant de poissons, assez rare ici au pays
de la viande de bœuf.
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